30 janvier 2007
Quand les habitants font parler la tour...
J'ai vécu, mais je suis condamné à disparaître, j'aurais aimé être une rue portant mon nom, même un magasin qui se souviendra de moi, aujourd'hui je ne suis pas seul, car les pigeons nichent. Avant de me poussiériser je veux qu'on entende par les fenêtres...